Arquivo de Abril, 2005

We can`t feel sorry for you, boys!

You need a lion`s heart to watch a game like this!

Someone broke into the trophy room at Newcastle.
Police are looking for thieves in possession of a black and white carpet!
It wasn`t a
nightmare.. it was for real!

Os blogs vão passar para a tv

Foi anunciada na semana passada a Current.tv, um projecto de televisão interactiva na internet, que absorve o videoblogging.
O target será a franja 18-34, os shots terão entre 15 segundos e 5 minutos(!) e serão desenvolvidos pela audiência, que veste a pele de jornalista.
Qualquer pessoa pode produzir um vídeo, que será arquivado no Google.. e logo se vê!

Como é que a religião explica estas coisas?

Há 250 anos, Lisboa tornava-se no centro das atenções por via de um terrível acontecimento – um devastador terramoto, com epicentro 200 km a sul do Cabo de São Vicente.
Na altura, Lisboa era uma das capitais mais bonitas da Europa, com uma população estimada de 250.000 habitantes. A violência do sismo precipitou milhares de pessoas para o Rio Tejo onde, cerca de 30 minutos mais tarde, seriam engolidas pelas ondas gigantes resultantes do Tsunami.
O balanço final estimou-se em cerca de 60.000 mortos.
Hoje realizamos aquilo por que Lisboa terá passado.
A memória das imagens de Dezembro de 2004 não nos permite esquecer..

Recentemente, foi lançado um livro sobre o assunto.
O autor é João Duarte Fonseca e esta excelente obra foi editada pela Argumentum. Bilingue – em português e inglês, vale a pena percorrer este livro, onde um pouco da nossa história nesse período está muitíssimo bem documentada.


Earthquake at Lisbon, 1755

Em 1756, Voltaire afirmava que “all for the best” dita em sentido lato, sem ter em conta a esperança no futuro, era um insulto à nossa pobre existência.
Escreveu então o Poème sur le désastre de Lisbonne que gerou alguma polémica, alimentada por Jean-Jacques Rousseau, que o acusou de unicamente proferir tal afirmação na qualidade de intelectual privilegiado; fôra Voltaire camponês e a conversa seria outra.
Hoje prova-se que Rousseau estava enganado.
Os media contribuem enormemente para a solidariedade entre os homens.

Poème sur le désastre de Lisbonne

O malheureux mortels! ô terre déplorable!
O de tous les mortels assemblage effroyable!
D’inutiles douleurs éternel entretien!
Philosophes trompés qui criez: “Tout est bien”
Accourez, contemplez ces ruines affreuses
Ces débris, ces lambeaux, ces cendres malheureuses,
Ces femmes, ces enfants l’un sur l’autre entassés,
Sous ces marbres rompus ces membres dispersés;
Cent mille infortunés que la terre dévore,
Qui, sanglants, déchirés, et palpitants encore,
Enterrés sous leurs toits, terminent sans secours
Dans l’horreur des tourments leurs lamentables jours!
Aux cris demi-formés de leurs voix expirantes,
Au spectacle effrayant de leurs cendres fumantes,
Direz-vous: “C’est l’effet des éternelles lois
Qui d’un Dieu libre et bon nécessitent le choix”?
Direz-vous, en voyant cet amas de victimes:
“Dieu s’est vengé, leur mort est le prix de leurs crimes”?
Quel crime, quelle faute ont commis ces enfants
Sur le sein maternel écrasés et sanglants?
Lisbonne, qui n’est plus, eut-elle plus de vices
Que Londres, que Paris, plongés dans les délices?
Lisbonne est abîmée, et l’on danse à Paris.
Tranquilles spectateurs, intrépides esprits,
De vos frères mourants contemplant les naufrages,
Vous recherchez en paix les causes des orages:
Mais du sort ennemi quand vous sentez les coups,
Devenus plus humains, vous pleurez comme nous.
Croyez-moi, quand la terre entrouvre ses abîmes
Ma plainte est innocente et mes cris légitimes
Partout environnés des cruautés du sort,
Des fureurs des méchants, des pièges de la mort
De tous les éléments éprouvant les atteintes,
Compagnons de nos maux, permettez-nous les plaintes.
C’est l’orgueil, dites-vous, l’orgueil séditieux,
Qui prétend qu’étant mal, nous pouvions être mieux.
Allez interroger les rivages du Tage;
Fouillez dans les débris de ce sanglant ravage;
Demandez aux mourants, dans ce séjour d’effroi
Si c’est l’orgueil qui crie “O ciel, secourez-moi!
O ciel, ayez pitié de l’humaine misère!”
“Tout est bien, dites-vous, et tout est nécessaire.”
Quoi! l’univers entier, sans ce gouffre infernal
Sans engloutir Lisbonne, eût-il été plus mal?
Etes-vous assurés que la cause éternelle
Qui fait tout, qui sait tout, qui créa tout pour elle,
Ne pouvait nous jeter dans ces tristes climats
Sans former des volcans allumés sous nos pas?
Borneriez-vous ainsi la suprême puissance?
Lui défendriez-vous d’exercer sa clémence?
L’éternel artisan n’a-t-il pas dans ses mains
Des moyens infinis tout prêts pour ses desseins?
Je désire humblement, sans offenser mon maître,
Que ce gouffre enflammé de soufre et de salpêtre
Eût allumé ses feux dans le fond des déserts.
Je respecte mon Dieu, mais j’aime l’univers.
Quand l’homme ose gémir d’un fléau si terrible
Il n’est point orgueilleux, hélas! Il est sensible.
Les tristes habitants de ces bords désolés
Dans l’horreur des tourments seraient-ils consolés
Si quelqu’un leur disait: “Tombez, mourez tranquilles;
Pour le bonheur du monde on détruit vos asiles.
D’autres mains vont bâtir vos palais embrasés
D’autres peuples naîtront dans vos murs écrasés;
Le Nord va s’enrichir de vos pertes fatales
Tous vos maux sont un bien dans les lois générales
Dieu vous voit du même oeil que les vils vermisseaux
Dont vous serez la proie au fond de vos tombeaux”?
A des infortunés quel horrible langage!
Cruels, à mes douleurs n’ajoutez point l’outrage.
Non, ne présentez plus à mon coeur agité
Ces immuables lois de la nécessité
Cette chaîne des corps, des esprits, et des mondes.
O rêves des savants! ô chimères profondes!
Dieu tient en main la chaîne, et n’est point enchaîné
Par son choix bienfaisant tout est déterminé:
Il est libre, il est juste, il n’est point implacable.
Pourquoi donc souffrons-nous sous un maître équitable?
Voilà le noeud fatal qu’il fallait délier.
Guérirez-vous nos maux en osant les nier?
Tous les peuples, tremblant sous une main divine
Du mal que vous niez ont cherché l’origine.
Si l’éternelle loi qui meut les éléments
Fait tomber les rochers sous les efforts des vents
Si les chênes touffus par la foudre s’embrasent,
Ils ne ressentent point des coups qui les écrasent:
Mais je vis, mais je sens, mais mon coeur opprimé
Demande des secours au Dieu qui l’a formé.
Enfants du Tout-Puissant, mais nés dans la misère,
Nous étendons les mains vers notre commun père.
Le vase, on le sait bien, ne dit point au potier:
“Pourquoi suis-je si vil, si faible et si grossier?”
Il n’a point la parole, il n’a point la pensée;
Cette urne en se formant qui tombe fracassée
De la main du potier ne reçut point un coeur
Qui désirât les biens et sentît son malheur
“Ce malheur, dites-vous, est le bien d’un autre être.”
De mon corps tout sanglant mille insectes vont naître;
Quand la mort met le comble aux maux que j’ai soufferts
Le beau soulagement d’être mangé des vers!
Tristes calculateurs des misères humaines
Ne me consolez point, vous aigrissez mes peines
Et je ne vois en vous que l’effort impuissant
D’un fier infortuné qui feint d’être content.
Je ne suis du grand tout qu’une faible partie:
Oui; mais les animaux condamnés à la vie,
Tous les êtres sentants, nés sous la même loi,
Vivent dans la douleur, et meurent comme moi.
Le vautour acharné sur sa timide proie
De ses membres sanglants se repaît avec joie;
Tout semble bien pour lui, mais bientôt à son tour
Un aigle au bec tranchant dévore le vautour;
L’homme d’un plomb mortel atteint cette aigle altière:
Et l’homme aux champs de Mars couché sur la poussière,
Sanglant, percé de coups, sur un tas de mourants,
Sert d’aliment affreux aux oiseaux dévorants.
Ainsi du monde entier tous les membres gémissent;
Nés tous pour les tourments, l’un par l’autre ils périssent:
Et vous composerez dans ce chaos fatal
Des malheurs de chaque être un bonheur général!
Quel bonheur! ô mortel et faible et misérable.
Vous criez: “Tout est bien” d’une voix lamentable,
L’univers vous dément, et votre propre coeur
Cent fois de votre esprit a réfuté l’erreur.
Eléments, animaux, humains, tout est en guerre.
Il le faut avouer, le mal est sur la terre:
Son principe secret ne nous est point connu.
De l’auteur de tout bien le mal est-il venu?
Est-ce le noir Typhon, le barbare Arimane,
Dont la loi tyrannique à souffrir nous condamne?
Mon esprit n’admet point ces monstres odieux
Dont le monde en tremblant fit autrefois des dieux.
Mais comment concevoir un Dieu, la bonté même,
Qui prodigua ses biens à ses enfants qu’il aime,
Et qui versa sur eux les maux à pleines mains?
Quel oeil peut pénétrer dans ses profonds desseins?
De l’Etre tout parfait le mal ne pouvait naître;
Il ne vient point d’autrui, puisque Dieu seul est maître:
Il existe pourtant. O tristes vérités!
O mélange étonnant de contrariétés!
Un Dieu vint consoler notre race affligée;
Il visita la terre et ne l’a point changée!
Un sophiste arrogant nous dit qu’il ne l’a pu;
“Il le pouvait, dit l’autre, et ne l’a point voulu:
Il le voudra, sans doute”; et tandis qu’on raisonne,
Des foudres souterrains engloutissent Lisbonne,
Et de trente cités dispersent les débris,
Des bords sanglants du Tage à la mer de Cadix.
Ou l’homme est né coupable, et Dieu punit sa race,
Ou ce maître absolu de l’être et de l’espace,
Sans courroux, sans pitié, tranquille, indifférent,
De ses premiers décrets suit l’éternel torrent;
Ou la matière informe à son maître rebelle,
Porte en soi des défauts nécessaires comme elle;
Ou bien Dieu nous éprouve, et ce séjour mortel
N’est qu’un passage étroit vers un monde éternel.
Nous essuyons ici des douleurs passagères:
Le trépas est un bien qui finit nos misères.
Mais quand nous sortirons de ce passage affreux,
Qui de nous prétendra mériter d’être heureux?
Quelque parti qu’on prenne, on doit frémir, sans doute
Il n’est rien qu’on connaisse, et rien qu’on ne redoute.
La nature est muette, on l’interroge en vain;
On a besoin d’un Dieu qui parle au genre humain.
Il n’appartient qu’à lui d’expliquer son ouvrage,
De consoler le faible, et d’éclairer le sage.
L’homme, au doute, à l’erreur, abandonné sans lui,
Cherche en vain des roseaux qui lui servent d’appui.
Leibnitz ne m’apprend point par quels noeuds invisibles,
Dans le mieux ordonné des univers possibles,
Un désordre éternel, un chaos de malheurs,
Mêle à nos vains plaisirs de réelles douleurs,
Ni pourquoi l’innocent, ainsi que le coupable
Subit également ce mal inévitable.
Je ne conçois pas plus comment tout serait bien:
Je suis comme un docteur, hélas! je ne sais rien.
Platon dit qu’autrefois l’homme avait eu des ailes,
Un corps impénétrable aux atteintes mortelles;
La douleur, le trépas, n’approchaient point de lui.
De cet état brillant qu’il diffère aujourd’hui!
Il rampe, il souffre, il meurt; tout ce qui naît expire;
De la destruction la nature est l’empire.
Un faible composé de nerfs et d’ossements
Ne peut être insensible au choc des éléments;
Ce mélange de sang, de liqueurs, et de poudre,
Puisqu’il fut assemblé, fut fait pour se dissoudre;
Et le sentiment prompt de ces nerfs délicats
Fut soumis aux douleurs, ministres du trépas:
C’est là ce que m’apprend la voix de la nature.
J’abandonne Platon, je rejette Epicure.
Bayle en sait plus qu’eux tous; je vais le consulter:
La balance à la main, Bayle enseigne à douter,
Assez sage, assez grand pour être sans système,
Il les a tous détruits, et se combat lui-même:
Semblable à cet aveugle en butte aux Philistins
Qui tomba sous les murs abattus par ses mains.
Que peut donc de l’esprit la plus vaste étendue?
Rien; le livre du sort se ferme à notre vue.
L’homme, étranger à soi, de l’homme est ignoré.
Que suis-je, où suis-je, où vais-je, et d’où suis-je tiré?
Atomes tourmentés sur cet amas de boue
Que la mort engloutit et dont le sort se joue,
Mais atomes pensants, atomes dont les yeux,
Guidés par la pensée, ont mesuré les cieux;
Au sein de l’infini nous élançons notre être,
Sans pouvoir un moment nous voir et nous connaître.
Ce monde, ce théâtre et d’orgueil et d’erreur,
Est plein d’infortunés qui parlent de bonheur.
Tout se plaint, tout gémit en cherchant le bien-être:
Nul ne voudrait mourir, nul ne voudrait renaître.
Quelquefois, dans nos jours consacrés aux douleurs,
Par la main du plaisir nous essuyons nos pleurs;
Mais le plaisir s’envole, et passe comme une ombre;
Nos chagrins, nos regrets, nos pertes, sont sans nombre.
Le passé n’est pour nous qu’un triste souvenir;
Le présent est affreux, s’il n’est point d’avenir,
Si la nuit du tombeau détruit l’être qui pense.
Un jour tout sera bien, voilà notre espérance;
Tout est bien aujourd’hui, voilà l’illusion.
Les sages me trompaient, et Dieu seul a raison.
Humble dans mes soupirs, soumis dans ma souffrance,
Je ne m’élève point contre la Providence.
Sur un ton moins lugubre on me vit autrefois
Chanter des doux plaisirs les séduisantes lois:
D’autres temps, d’autres moeurs: instruit par la vieillesse,
Des humains égarés partageant la faiblesse
Dans une épaisse nuit cherchant à m’éclairer,
Je ne sais que souffrir, et non pas murmurer.
Un calife autrefois, à son heure dernière,
Au Dieu qu’il adorait dit pour toute prière:
“Je t’apporte, ô seul roi, seul être illimité,
Tout ce que tu n’as pas dans ton immensité,
Les défauts, les regrets, les maux et l’ignorance.”
Mais il pouvait encore ajouter l’espérance.

Le vin du solitaire


Jan Steen – A Man blowing Smoke at a Drunken Woman

Le regard singulier d´une femme galante
Qui se glisse vers nous comme le rayon blanc
Que la lune onduleuse envoie au lac tremblant,
Quand elle veut y baigner sa beauté nonchalante ;

Le dernier sac d´écus dans les doigts d´un joueur ;
Un baiser libertin de la maigre Adeline ;
Les sons d´une musique énervante et câline,
Semblable au cri lointain de l´humaine douleur ;

Tout cela ne vaut pas, ô bouteille profonde,
Les baumes pénétrants de ta panse féconde
Garde au coeur altéré du poète pieux ;

Tu lui verses l´espoir, la jeunesse et la vie,
Et l´orgueil, ce trésor de toute gueuserie,
Qui nous rend triomphants et semblables aux dieux.

Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal

Então.. deixaram de acreditar que vão ser campeões?

Bom! Isso é lá com eles!
Por mim, continuo a acreditar que o Sporting vai ser campeão e que vai ganhar a Taça Uefa!
E não gosto de ser contrariado!

To be free like the wind

House of Flying Daggers de Zhang Yimou, é muito mais do que uma história sobre um triângulo amoroso.

Estamos no ano 859 A.D.
Mei (Zhang Ziyi) é membro secreto dos Punhais Voadores – cujo líder foi morto pelos polícias da corrupta Dinastia Tang.
Jin (Takeshi Kaneshiro) e Leo (Andy Lau Tak Wah), ambos capitães da polícia, estão firmemente empenhados em anular o novo líder dos rebeldes.

A luminosa Zhang Ziyi desenha um esplendoroso quadro de ballet durante o Jogo do Eco, acompanhada pelo som dos tambores.

Mei, que actua no Pavilhão de Peony – um luxuoso bordel, é presa por suspeita de pertencer ao movimento rebelde.

Jin simula o salvamento de Mei e foge com ela, a caminho da Casa dos Punhais Voadores.

À medida que vai conquistando a sua confiança, Jin vai-se envolvendo com a bela e elegante Mei, num jogo de sedução a que não estamos habituados no cinema europeu, sem no entanto deixar de ser familiar.

Quando são atacados por uma patrulha que os persegue, contam com a inesperada ajuda de um misterioso protector, que segue Mei e a protege.
Jin percebe então que existe outro homem na vida de Mei. Inicia-se o triângulo amoroso.

São imagens excitantes, as perseguições pela floresta de bambú!

Num claro desafio às leis da natureza – tal como em O Tigre e o Dragão, os guerreiros voam por cima das árvores, identificados quase exclusivamente pelos silvos das lanças de bambú, como efeito musical do movimento.

O simbólico combate de morte, no meio de uma repentina tempestade de neve, entre os dois homens que lutam pelo amor dela é uma tragédia lírica, quase operática.
Como um combate de morte pode ser comovente!

O trabalho sobre a côr é magnífico, num exercício de fotografia de Zhao Xiaoding que capta muito bem as autênticas coreografias nas cenas de acção, bem como os tons outonais das paisagens. Muito bonito, este filme.

Mira Vos ou A Caixa de Rapé de Gregório XVI

Os homens religiosos combatem a liberdade e os amigos da liberdade atacam a religião; espíritos nobres e generosos elogiam a escravatura e almas baixas e servis preconizam a independência; cidadãos honestos e esclarecidos são inimigos do progresso, enquanto homens sem patriotismo e sem costumes se tornam apóstolos da civilização e das Luzes! Será que todos os séculos se pareceram com o nosso? O homem teve sempre diante dos olhos, como tem nos nossos dias, um mundo onde a virtude não tem génio e o génio não tem honra; onde o amor da ordem se confunde com o gosto dos tiranos, e o culto sagrado da liberdade com o desprezo pelas leis humanas; onde nada parece proibido ou permitido, honesto ou desonroso, verdadeiro ou falso?

Alex de Tocqueville em A Democracia na América (1835) sobre a tensão no século XIX entre liberdade e religião


MichelangeloDying Slave, 1513

Sem papa, não há igreja;
Sem igreja, não há cristianismo;
Sem cristianismo, não há religião;
Sem religião, não há sociedade?

Fèlicité-Robert de Lamennais, padre francês do século XIX, filósofo, liberal e redactor da revista L`Avenir, que viria a ser proibida pelo Vaticano. Nela se defendia energicamente a separação entre a Igreja e o Estado.

L`Avenir é uma bela aventura do espírito, na qual se celebra a liberdade de consciência e de instrução – contra os monopólios, sejam da igreja ou do Estado, a liberdade das comunas, a liberdade de associação, contra o individualismo da Revolução e o egoísmo dos ricos. Denuncia a Concordata assinada por Napoleão e Pio VII:

Somos pagos por aqueles que nos olham como hipócratas ou imbecis e estão convencidos de que a nossa vida depende do dinheiro deles

Mãe D`Água das Amoreiras

O Aqueduto das Águas Livres alimentou chafarizes e fontes em vários bairros da cidade de Lisboa.
Foi construído durante o reinado de D. João V e encontra-se associado de forma indelével à história do abastecimento de água à capital.
Os trabalhos foram orientados inicialmente pelo arquitecto italiano António Canevari (1732), mais tarde substituído pelos arquitectos José da Silva Pais, Manuel da Maia e Custódio José Vieira.
O Aqueduto inicia-se na nascente das Águas Livres, lugar conhecido pela Mãe d´Água Velha, em Caneças, e tem um comprimento de 19 km até chegar à Mãe d´Água das Amoreiras, em Lisboa.
Possui um total de 109 arcos, 35 dos quais sobre o Vale de Alcântara e que constituem a parte mais imponente do conjunto – o maior tem 65 m de altura e 29 de largura!


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Entre dois dos arco finais situa-se a Capela de Nossa Senhora de Monserrate – anterior à construção do Aqueduto; Possui também painéis de azulejos alusivos à entrada das águas livres na cidade.



O
Grande Arco das Amoreiras inicia a secção final de 10 arcos, que terminam na Casa da Água ou Mãe d´Água. Este troço foi construido entre 1745 e 1756 e comemora a chegada da água a Lisboa.



Imediatamente antes do Reservatório da Mãe d’Água das Amoreiras, datado de 1834 foram colocados estes três painéis de azulejos – alusivos ao tema água, entretanto retirados da Igreja de S. Lourenço de Carnide.


Posted by Hello

il Buono, il brutto, il cattivo

Sinopse do Filme Boavista-0, Sporting-4

Pedro Barbosa, O Bom – Uma noite mágica para o Capitão, aos olhos de todos menos do Jaime Pacheco, que não gosta de futebol.. quer dizer: não gosta de ver jogar bem!
Sá Pinto, O Mau – Consegue provavelmente um record mundial ao falhar 4 (sim, quatro) golos de baliza aberta num só jogo!
Só podia ficar irritado consigo próprio, em lugar de arranjar sarilhos no final da partida do Bessa.
Liedson, O Vilão – Começa a ficar gasta a frase “Liedson Resolve”..
Mas o que é que a gente há-de fazer?!
Este rapaz franzino e levezinho de botas cor-de-laranja(!) devia adoptar o cognome de O Cumpridor.
Liedson, O Cumpridor.
Soa bem!
E sabe melhor!

Paixão pela música eterna

JOHANN SEBASTIAN BACHSacred Choral Works

Choir – The Monteverdi Choir
Orchestra – The English Baroque Soloists
Conductor – John Eliot Gardiner

Bach: Christmas Oratorio BWV 248
Soprano – Ruth Holton
Contralto – Anne Sofie von Otter
Tenor – Anthony Rolfe Johnson
Bass – Olaf Bär
Soprano – Nancy Argenta
Tenor – Blochwitz, Hans Peter
Soprano – Katie Pringle

Bach: St. Matthew Passion BWV 244
Soprano – Barbara Bonney
Contralto – Anne Sofie von Otter
Tenor Chance, Michael
Baritone – Andreas Schmidt
Bass – Cornelius Hauptmann
Soprano – Ann Monoyios
Tenor – Anthony Rolfe Johnson
Tenor – Howard Crook
Baritone – Olaf Bär

Bach: St. John Passion BWV 245
Soprano – Nancy Argenta
Contralto – Ruth Holton
Tenor – Anthony Rolfe Johnson
Countertenor – Michael Chance
Bass – Stephen Varcoe
Bass – Cornelius Hauptmann

Bach: Mass in B minor BWV 232
Soprano – Nancy Argenta
Tenor – Wynford Evans
Bass – Morgan Lloyd
Soprano – Jane Fairfield
Soprano – Jean Knibbs
Contralto – Patrick Collin
Contralto – Ashley Stafford
Tenor – Andrew Murgatroyd
Bass – Stephen Varcoe
Soprano – Mary Nichols
Tenor – Howard Milner

CD – DDD 469 769-2
9 Compact Discs
ARCHIV Produktion
Collectors Edition

Track List: CD 1CD 2CD 3CD 4CD 5CD 6CD 7CD 8CD 9